Sur le sujet, la série "la Fabrique de l'Histoire" de la semaine derniere était consacrée à l'imaginaire historique. L'émission de jeudi était consacrée, in absentia, à Ségolène Royal et à Nicolas Sarkozy et commentait le propos de SR cité plus bas (dommage que les extraits de NS aient été traités avec un pédantisme partisan assez désagréable).
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La France n'est pas la synthèse de l'Ancien Régime et de la Révolution. (...) C'est la rupture opérée par la Révolution qui explique la France d'aujourd'huije me suis remémoré Marc Bloch:
Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l'histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération.Ce genre de choses, le maître posthume de Ségolène Royal, les avait trop bien comprises. Quant à elle, on peut supposer qu'elle garde ces leçons pour le 2e tour!
Et quid de celle-ci, du même (Bloch, pas Mitterrand):
Nous serons perdus, si nous nous replions sur nous-mêmes; sauvés, seulement, à condition de travailler durement de nos cerveaux, pour mieux savoir et imaginer plus vite.(qui pourrait être du Bayrou, en plus vif)?
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