Réponse: le confort. J'aime lire le journal au bistrot où je déjeune. Et il y a les illustrations, les photos. Ainsi ce midi, ce qui m'attire à lire l'article sur la présente exposition "Encounters The Meeting of Asia and Europe" au Victoria and Albert Museum de Londres, c'est l'extraordinaire portrait de l'empereur de Chine Yongzheng en perruque Louis XIV. Que je vous mets ici, à regarder en lisant l'article dans Libé on-line.
(source: Victoria & Albert Museum)
Sake Dean Mohamed, qui servit dans l'armée de Bengale, ouvr[it] en 1810, avec sa femme irlandaise, le premier restaurant indien d'Angleterre, The Hindoostanee Coffee House.
Pour en revenir à la question qui ouvrait ce post, j'ai une réponse au moins niçoise: il est devenu de plus en plus difficile d'acheter Libé à Nice. Ici, à deux pas de l'Université, passé 12:30, il est presque impossible de l'acheter ("Y en a plus!"). Très peu d'exemplaires distribués et raréfaction des marchands de journaux (sur l'avenue en deux ans, ça a été une hécatombe). Quant aux nombres d'exemplaires (il reste à toute heure des piles de Figaro), on m'explique que c'est la faute des NMPP. Il faudrait éclaircir ça. Quant aux points de vente, noter que Nice-Matin se trouve partout, à la boulangerie, à la superette, etc. En tous cas à Nice, si de lecteur quotidien, je suis devenu bi hadomadaire (en moyenne), ce n'est pas seulement la faute à l'Internet!
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