La reprise du titre de l'article d'Elisabeth Roudinesco ( http://bit.ly/bb3zSx ), démolissant le dernier ouvrage d'Onfray, et dont il n'est nulle nulle part question ici, invite à considérer cet article-ci comme une réponse indirecte et paradoxale. Paradoxale dans la mesure où Elisabeth Roudinesco écrivant dans Mediapart, c'est presque l'inverse d'un commentaire anonyme sur le web. L'internet semble faire office de bouc émissaire où passer une rage qu'on ne peut diriger vers sa source (observation éthologique banale).
en référence à : http://www.lemonde.fr/opinions/article/2010/04/17/litteratures-de-vespasiennes_1335228_3232.html (afficher sur Google Sidewiki)
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