"On est de moins en moins nombreux dans le monde à pouvoir marcher librement... les espaces où cela est possible sont de plus en plus étroits, non pas en raison des seuls lieux de la guerre mais aussi en raison des lieux qui, aujourd'hui, en tentant de se protéger contre de possibles violences sur leur territoire, deviennent des vrais lieux d'enfermement. Donc la question qui est posée est la suivante: est-ce celà, ce que l'on veut, c'est-à-dire rester là et ne plus bouger?"
Zahia Rahmani, reçue chez Alain Veinstein jeudi soir pour "Musulman" roman.
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