dimanche 30 septembre 2007

Oia at Night


Oia at Night, première mise en ligne par Klearchos Kapoutsis.

vendredi 14 septembre 2007

"Il faut simplement se taire pendant un moment..."

C'est le conseil de Denis McShane aux socialistes français ce matin sur FC:
Ecouter [MP3]:


"Partez en vacances, laissez monsieur Sarkozy faire ses propres erreurs..."

C'est apparemment la stratégie suivie par François Bayrou. Il la justifie dans un entretien à Sud-Ouest:
Quand un pouvoir s'installe, cela ne sert à rien de faire des commentaires. Les gens donnent leur confiance à ceux qu'ils ont élus, plus exactement ils la prêtent. Ils attendent de voir quelle est l'évolution de la réalité avant de formuler leur jugement.
(via Diner's Room)

dimanche 9 septembre 2007

Le capitalisme de désastre / Naomi Klein

The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism / Naomi Klein:
Depuis plus de 30 ans, [Milton] Friedman et ses puissants suiveurs ont perfectionné cette stratégie: attendre une crise majeure et alors brader des morceaux de l’Etat à des acteurs privés pendant que les citoyens sont encore en état de choc, puis rendre rapidement ces “réformes” permanentes.
Dans un de ses essais les plus influents, Friedman a défini la panacée tactique du capitalisme contemporain, que j’en suis venue à comprendre comme la doctrine du choc. Il observe que “seule une crise - effective ou perçue - produit des changements réels. Lorsque la crise advient, les actions entreprises dépendent des idées disponibles. Notre fonction fondamentale est, je le crois, de développer des alternatives aux politiques en cours, de les maintenir vivantes et disponibles jusqu’à ce que l’impossible politiquement devienne politiquement inévitable.” (p.5)
Exemple: les écoles de la Nouvelle-Orléans.

Présentation du livre sur YouTube:



(via Boing-Boing)

PS. Speaking of Naomi Klein, pour ceux qui entendent l'anglais, cet autre petit clip sur YouTube:

Waiting to exhale


Waiting to exhale, originally uploaded by ucumari.

(via Boing-Boing)

samedi 8 septembre 2007

No Comment!

Il y a eu une énorme erreur de gestion de la pression pendant les douze heures qui ont précédé la rencontre. On voulait du côté du staff que les joueurs soient émotionnellement au top au coup d'envoi et au contraire, ils se sont retrouvés complètement vidés. Le problème est que l'encadrement a voulu en rajouter et a fait lire au groupe la lettre de Guy Moquet, ce qui a créé un surplus d'émotion. Les joueurs avaient les larmes aux yeux. Le match était quasiment cinq heures après. [...] Et ce qui devait arriver est arrivé : les joueurs étaient vidés au moment du match. Ils ont joué le match dans leur tête plusieurs fois et ils ont eu en fait les jambes en coton au mauvais moment. Ils n'ont pas pu mettre la main sur le ballon pendant les vingt premières minutes. Certains joueurs pensaient à ce match depuis quatre ans. Et tout a été anéanti par cette montée en pression ratée. Le staff a complètement loupé cette entrée en matière.
(Laurent Benezech sur MSN, via Diner's Room, où Jules discute l'opportunité stratégique de la lecture. Comme je ne suis pas supporter, j'ai l'impression, malgré toute l'estime que j'ai pour lui, que c'est regarder le doigt au lieu de la lune.)

mardi 4 septembre 2007

Le présent du livre (mauvaise humeur)

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